Vancouver Island

on the road et Vancouver

carnet de voyage premiere partie

 bonjour bonjour
 
et bien voila cela fait une semaine que je suis partie de Quebec, le voyage a ete intense
petit apercu;
partie de quebec jeudi a 12h, je passe ma premiere soiree de voyageuse a Montreal chez Eloi qui m accueil royalement, fromage vin, musique et etoiles dans les yeux, je repars le lendemain midi direction la gare de bus , et la c est la crise, je passe une heure au telephome avec la compagnie de bus a qui j ai achete le billet, probleme de communication, au bout de deux heures d intense coup de telephone, d aller retour dans la gare, je reussi a recuperer mon billet, a moi l ouest
 
je prend le bus de 17h avec un arret de 4h a Ottawa, je m imagine alors pouvoir prendre un ptit cafe la bas, tout en visitant la ville, mais une fois arrive la bas je m appercois que je suis en pleine zone industrielle et que je dois donc attendre quatre heures dans cette deuxieme gars d autobus, qui ne sera malheureusement pas la derniere, je  rencontre deux militaires… rencontres improbables et quasi surrealiste, en tout cas je voulais parler anglais, et bien je suis dedans jusqu au cou
 
je reprend le bus,  m arrete dans plusieurs ville, decouvre un paysage magnique et changeant, mais, patatrac, alors que nous sommes en pose dans un trou paume nomme White River, et que je suis en train de jouer de l harmonica avec Svea , une allemande rencontre dans le bus, on le voit qui decolle sans nous, je cours comme une folle, mais rien a faire, il est bien partie sans nous et nous voila bloque dans ce petit bourg pendant 10h, a attendre le prochaine bus, en plus il est 5h de l apres midi, ce qui veut dire que nous allons devoir attendre jusqu a 4h du matin…..
la journee aura quand meme ces petits charmes, entre la rencontre avec un Orignal, mon premier, la decouverte de l univers des truckers, la ville en est remplie, et l apprentissage de nouveau mot allemand avec Svea, une super fille, cela apporte du charme, meme si la nuit est super froide et que nous nous demandons si nous ne reverons jamais nos sac reste dans la soutte du bus…… suspense
 
La fin du periple se passera sans souci, j arrive a vancouver mardi a 4h du matin, je dois attendre 6h pour recuperer mon sac, mais juste de savoir qu il est la me comble de joie, et puis sa y est j y suis, a 9h de deccalage de la france, pret de cet ocean pacifique que j espere tant pouvoir voir,
une fois mon sac sur le dos, je prend la route de chez Destinee, vive le couch surfing, je decouvre la ville vide, il est quand meme super tot, mais ce qui malgre tout me marque le plus c est cette incroyable difference entre les building hyper moderne, et un fort tot de population pauvre et completement sortie du systeme…. affaire a suivre
 
j arrive chez Destinee, c est exactement comme je me l imaginais, le squat total, nous sommes une quizaine de personne des quatre coin de la planete, tous en voyage, a dormir dans le salon, belles rencontres
 
je rencontre trois petits francais qui projete de partir en voiture sur l ile de vanvouver pour aller voir l ocean le jeudi, il reste une place dans la voiture, je saute sur l occasion, et nous voici jeudi matin sur le ferry qui nous menera sur les grandes plages face a cet ocean, sur la route nous menant a Tofino, nous croisons deux bebe ours, et puis il y a ces paysages, ces montagnes au sommet arrondit, ces lacs gigantesques ou viennent se refleter les pins et sequoia qui bordent la route, tout me parait plus grand ici, je n ai jamais vu d arbres aussi impressionnant, aussi luxuriant, l air est extremement humide et aide a la creation d une nature extraordianire, certains arbres semblent tout droit sorti d un film de Tim Burton,
Nous installons nos tentes dans un camping situe a 5min de la mer, et nous voila en route pour le grand saut, les garcons iront se baigner, moi j avoue que le froid ma vite arrete ….
 
le voyage continu ensuite, un feu sur la plage a regarder toutes ces etoiles filantes tomber, une nuit au son des vagues, un dejeuner sur la plages entoure d un brouillard epais, et puis le retour a vancouver, au passage nous prenons un auto stoppeur, musicien hippie avec qui nous irons nous baigner dans un lac, la musique prendra tres vite sa place et finira cet excursion sur l ile dans un sentiment d allegresse sans borne,
 
nous rentrons le soir chez Destinee, les garcons retournent chez eux le lendemain, il est temps pour moi de preparer la suite de mon voyage, dimanche Olliver me voila
 
voila c etait le carnet de voyage du debut de mon periple, je ne vous en voudrais pas si vous n avez pas tout lu, vu que je nai pas d acces facile a internt, je met tout dans celui la

instants de vie

 

Juillet arrive avec ses concerts,

ses coups de soleil,

ses lumieres incroyables quand le ciel vient se refleter dans le St Laurent

moments de douceur

intense joie de vivre a 4OO % toutes ces ivresses ouverte à nous

un voyage sédentaire mais unique

en émotion, en rencontre et partage

une ville à vivre

une route à suivre

FullPatch

voici l’affiche crée pour le concours Parodie la Pub,

Juin

les mois ont passé à une vitesse folle emportant avec eux, la neige et le froid

l’été s’en vient, rempli d’ondes lumineuses, les corps apparaissent et laissent transparaitre l’envie d’incandescence.

la bruissement des jupes sur les jambes dénudés, le claquement des sandales sur les trottoirs et la musique qui reprend tous ses droits a voler dans les airs.

retrouver la ville tel que je l’ai découverte, effervescente, colorée et multiple

marcher pied-nu dans l’herbe qui recouvre desormais la moindre parcelle de terre, sentir le vent chaud dans son cou et rire de se faire emporter par les bourrasques aux senteurs marines.

petits bonheurs….

Se créer un lieu

S’édifier un toit

Se chercher un soi

Se trouver une voie

S’imaginer une vie

Se dessiner

Parcourir les ruelles

Partir en ritournelles

Identifier les murs

Et rêver leurs histoires

Matières à écouter..

cabane a sucre

les petits mots…

Il y en a des longs, des forts, des doux, des drôles et des lumineux, il y en a qui comme un parfum nous ramènent à nous, à la famille, aux amis, au quotidien, au bonheur Il y en a pour partager, dans la tristesse, dans la peur

Il y en a qui n’existent pas, mais qui résonnent d’une compréhension universelle

Il y en a des invisibles, tant chargés d’émotions qu’il vaut mieux les taire, les laisser juste transparaître

Il y en a partout autour de moi, ces petits mots qui me font savoir que peu importe l’endroit,

Vous êtes là !